Test Blu-Ray : Braveheart
Publié le par la Rédaction
Il y a dans l’histoire du cinéma des films auxquels on pourrait associer une charge émotionnelle dont la portée vous inspire durant des heures, des jours, des mois, voir pour certains d’entre vous des années. 'Braveheart', film réalisé par Mel Gibson en 1995, en fait incontestablement partie.
A nos yeux, il s’agit là d’une œuvre comme on en fait peu. Mel Gibson est sans doute un réalisateur qui a attiré les foudres des polémiques les plus mouvementées. Mais il a aussi été mépris par les critiques voir même les institutions religieuses, qui, souhaitant conserver la légitimité qui est la leur à l’égard des faits religieux, ont sans doute déconsidéré à tort un réalisateur talentueux doté d’une vision d’artiste plutôt unique en son genre.
On ne ré abordera pas les débats mouvementés suscités par 'la Passion du Christ' tant les issues se sont montrées souvent impertinentes. En outre, de grandes personnalités de la télévision publique, dont les statuts légitiment par nature la profondeur des savoirs, s’en sont chargées et ont fini par s’accorder que Jésus n’avait historiquement pas les abdominaux de l’acteur Jim Caviezel… C’est ce qui arrive malheureusement quand on interprète une œuvre telle qu’un mythe, dont le récit a essentiellement une valeur symbolique, dans une seule et unique dimension réaliste et historique. C’est cette erreur, que notre civilisation de plus en plus rationaliste nous impose peut-être culturellement, qui nous poussera à confondre réalité et symbole, sens premier et parabole, voir par analogie, l’apparence physique et la richesse intérieure. Nous sommes en quelque sorte poussés à interpréter de façon trop littérale voir intellectuelle les choses et passons à côté de l’essentiel. Or, et pour revenir aux réalisations de Mel Gibson, on a oublié que le corps, un élément toujours mis en défit dans ses films, est lui-même un symbole. Il est en soi un langage, mais possède aussi un langage dont la souffrance fait partie. Et Gibson, en homme de foi, en a conscience. Il « s’acharne » (et le mot est un euphémisme) dans chacun de ses films à nous enseigner une chose : c’est le cœur - non pas le muscle mais le siège représentatif de la foi, la croyance, l’intuition - qui fait l’Homme. Mel Gibson, lorsqu’il pousse au travers ses films la souffrance physique à une démesure irréaliste, joue avec la force d’une image symbolique. Il veut nous prouver, à sa façon, la supériorité de l’esprit sur le corps, de la croyance (sacrée) sur la matière (profane). Et plus la souffrance physique est douloureuse durant cette lutte manichéenne, plus la victoire du cœur, c'est-à-dire celle de la foi, est grande.
On juge toujours la grandeur d’un héros, quel qu’il soit, par la difficulté des épreuves qu’il accomplit. Et un personnage mythique doit savoir prouver sa valeur en défiant sa foi. Le héros, et Gibson l’a sans doute compris via 'Braveheart' ou sa 'Passion', s’assimile donc toujours à un homme courageux qui va, au travers différents défis et pour reprendre la figure allégorique, « braver son cœur » c'est-à-dire plus concrètement parlant mettre à l’épreuve sa foi, ses croyances.
« Ton cœur est libre, trouve le courage de le suivre » Braveheart
« Mon cœur est prêt, Père, mon cœur est prêt » La Passion du Christ
Au-delà de l’acteur et de la star controversée, Gibson reste avant tout un grand réalisateur dont on retiendra dans quelques décennies la portée universelle et surtout spirituelle de chacun de ses films, dont 'Braveheart' dont il est question aujourd’hui. Car si 'Braveheart' est le premier grand succès de l’homme en tant que réalisateur, c’est loin d’être le seul. 'De L’homme sans visage', 'Apocalypto' jusqu’à 'La Passion du Christ', tous ses films sont le témoignage d’une même vision. Ils témoignent tous en tout cas de la représentation faite par un être inspiré de l’Homme et de la Civilisation dans ses composantes essentielles et éternelles à savoir la violence collective et le sacré. En outre, le sacrifice est toujours la notion abordée avec cœur dans les films réalisés par Monsieur Gibson et cela déjà dans son 'Homme sans visage'. 'Braveheart', sans cette scène finale devenue anthologique où la Liberté est criée haut et fort, ne serait d’ailleurs plus du tout le même film…
'Braveheart' : c’est bien sûr, ne l’oublions pas, le récit d’un homme chargé d’un poids historique, William Wallace, symbole de l’indépendance et de la liberté écossaise. Mais très franchement, l’Ecosse servira juste de contexte à un scénario, conçu par Randall Wallace, au schéma héroïque conventionnel. Il ne s’agit pas dans 'Braveheart' d’être purement fidèle à une pseudo vérité historique à savoir celle de William Wallace et des exploits qu’il a pu effectuer en son temps. Si vérité historique il existe tant le personnage a conçu avec le temps sa propre mythologie (« Et s'il était là, ses yeux lanceraient une pluie d'éclairs à faire trembler l'armée anglaise et des boules de feu seraient projetées de son cul »). Est plutôt au cœur du récit un conte poétique universel. Randall Wallace aborde surtout dans son histoire l’élévation noble et progressive d’un personnage qui nous est humainement proche et qui deviendra une figure légendaire appréciée de tous, une figure capable d’inspirer le plus grand nombre et d’être assimilée, pour ces raisons, à la fondation d’une nouvelle société (l’Ecosse). C’est l’histoire typique d’un héros, enfant vite orphelin, mi-homme mi-dieu, en quête de sa moitié d’éternité (un paradis perdu) et qui n’y parviendra qu’en luttant sans relâche jusqu’à l’instant de délivrance, délaissant son corps (sa moitié profane) pour fusionner avec le sacré (qui est ici une noble notion : la Liberté). C’est là que se situe la valeur symbolique du sacrifice héroïque chez Mel Gibson. Et ce dernier parvient toujours à nous la transmettre à l’écran grâce la puissance évocatrice de sa mise en scène. On peut citer une forte dualité manichéenne dans l’imagerie de ses films (mélange d’un élément d’une beauté lyrique dans une scène violente voir horrible), de nombreuses prises de vue à la première personne qui nous immergent dans le ressenti des personnages (l’arrivée de Wallace sur une croix où l’on reçoit en pleine face et prenons part à l’injustice d’une victime émissaire qui va être mise en sacrifice) et aussi ces énormes et nombreux ralentis nous incitant à pénétrer dans une dimension émotionnelle, hors du temps présent. Ce sont là quelques marques de fabrique Gibsoniennes.
'Braveheart', comme la Passion ou 'Apocalypto', est un film que l'on pourrait qualifier pour ces raisons de visuel et de muet. Les seules images associées à la beauté de la partition (merci à l’énorme BO de James Horner !) font que des thèmes parviennent à toucher non pas l’intellect mais le cœur du spectateur. Mel Gibson nous parle en fait dans un très vieux langage. Le personnage qu’il dirige et interprète est un guerrier poétique :
"Fils de l'Ecosse. Je suis William Wallace. Et je vois toute une armée de mes compatriotes venus défier la tyrannie. Vous combattez en hommes libres. Et des hommes libres vous êtes. Mais Que feriez-vous sans la liberté ? Vous vous battriez ? Battez-vous, et mourez peut-être. Sauvez-vous, vous vivrez... enfin quelque temps. Sur votre lit de mort, dans bien des années, échangeriez-vous tous les jours à venir après celui-ci pour une chance, rien qu'une chance, de revenir ici dire à nos ennemis qu'ils peuvent prendre nos vies, mais jamais... notre liberté !"
Dans un monde en perte de sens, profondément individualisé, où la violence est à la fois inhérente et socialement partagée, l’homme a besoin de connaître ce qui compte, l’essence d’une vie souvent parue injuste, cruelle et toujours éphémère. « Tous les hommes meurent mais peu parmi eux vivent vraiment. » Et c’est dans cette quête « spirituelle » (d’éternité et de sens) que réside toute la force de 'Braveheart', un film dont le parcours héroïque de cet écossais ne peut vous laisser émotionnellement indifférent. Car cette aventure héroïque, comme beaucoup d’autres, permet au spectateur contemporain de vivre une expérience d'auto-transcendance à l’écran. En suivant l’aventure de ce héros, on quitte momentanément l'univers du quotidien qu'on retrouvera certes identique mais d’où on reviendra grandi. Et c’est cette chose transmise qui est en substance la clé atemporelle du grand succès de 'Braveheart', un film dont l’issue, telle qu’elle est mise en scène, nous motiverait même à prendre l’épée écossaise qui nous est tendue et à lutter comme l’avait fait en son temps William Wallace combattant l’armée anglaise pour sa liberté et la liberté de son peuple. Pourquoi après tout ne pas devenir le héros de votre propre existence ?
Cette réalisation a remporté, pour ces raisons et pour d’autres bien entendu, le sacre de 5 oscars dont celui du meilleur film et surtout du meilleur réalisateur. 'Braveheart' sera disponible le 4 novembre prochain en Blu-Ray Disc chez Fox sur le marché français. On traitera dans les pages suivantes la partie technique et les bonus offerts dans le cadre de cette édition évènement, composée de deux disques. Il s’agit d’un test Blu-Ray effectué en avant-première nationale.
Caractéristiques
Vidéo : Transfert 1080p MPEG-4 AVC (Débit Moyen de 19907 Kbps) / Format 2.35
Audio : Anglais en DTS-HD Master Audio 5.1 (Débit Moyen de 4072 Kbps / Encodage 24-bit) et Français et Allemand en DTS 5.1 (768 Kbps / 24-bit)
Sous-Titres : Anglais, Français, Allemand, Néerlandais, Suèdois, Finnois, Norvégien
Bonus : Commentaire audio du réalisateur, Le monde de William Wallace, Les champs de bataille de la rébellion écossaise, William Wallace, le plus grand héros d’Ecosse, Le travail du scénariste, Alba Gu Brath ! Le making Of Braveheart, Interviews du cast de Braveheart, Montage photo
Qualité Vidéo
A l’image de 'Gladiator', 'Braveheart' est un Blu-ray qu’on attendait de pied ferme. Les attentes du grand public sont logiquement placées hautes sur ce genre de film. Et bonne nouvelle : c’est un transfert prodigieux qui nous est ici proposé. Les images sont argentiques certes, mais terriblement modernes. En tant que fan du film, on n’espérait pas mieux tant les prestations sont succulentes. Petite note avant d’aborder le vif du sujet. 'Braveheart' est un film de 1995. Il accuse déjà de 15 ans d’ancienneté. C’est un film qui a aussi usé de filtres chargés de gommer l’intense pluie écossaise à laquelle l’équipe, lors du tournage, n’a pas pu échapper. Quelques scènes présentent ainsi des arrière-plans qui ne sont pas toujours excellemment définis. Une variation de définition est aussi à noter sur quelques plans et sur des portions localisées de l’image. Mais cette baisse sera davantage conséquente des choix d’époque en termes de mise au point que d’un post-traitement numérique récent de type DNR (Digital Noise Reduction) dont on aurait regretté la présence. En somme : on est face à un transfert qui semble respectueux de l’œuvre telle qu’elle a été conçue en 1995.
Les images proposées par cette édition sont très franchement de toute beauté malgré quelques poussières pellicule que vous pourrez peut-être apercevoir. Les images se montrent à la fois lumineuses, précises et très bien définies malgré les rares zones floutées citées plus haut. L’excellent point de cette édition : les couleurs ! Merveilleuses, elles ont été justement étalonnées et s’accordent avec les propos du film comme jamais on avait pu assister. Notez ces verts écossais lors du retour de William Wallace adulte dans son village qui sont saturés au poil et qui sont par cette saturation expressive très énonciateurs. Ils sont vifs et attirent l’œil. Ils seront associés au paradis amoureux que le héros perdra malheureusement très rapidement de vue. Suivent ensuite des bleus eux aussi parfaitement saturés (jugez le maquillage de nos guerriers écossais) et des rouges également vifs et brutaux que l’on associera à l’intensité des grandes batailles sanguinaires. On assiste donc à des primaires d’une très belle saturation et à laquelle très franchement on n’avait jamais pu découvrir (VHS, LaserDisc et DVD confondus) dans un tel état. Le transfert conserve aussi une texture argentique très cinéma. C’est un léger grain raffiné qui n’est présent que pour mieux définir les images toujours très évocatrices de Mel Gibson.
Les plans bénéficient toujours d’une très grande clarté, d’une expressivité particulière, et d’une fine maîtrise de la colorimétrie : épanouie avec William Wallace, son enfance, ses ballades romantiques, mais aussi tenue en réserve pour définir visuellement les traits des principaux personnages (Longues Pattes, Robert le Bruce) et leurs évolutions. La section visuelle est de toute beauté avec un piqué souvent élevé offrant des images très claires, percutantes, et mises en relief. Les contrastes sont eux même forts et la fluidité est au rendez vous. Voilà un disque qui ne vous décevra pas même si d’autres titres récents feront sans doute encore mieux en termes de rendu HD. Mais pourquoi après tout comparer l'incomparable ?
Qualité Audio
La section audio va encore une fois ravir les amateurs de versions originales qui vont pouvoir bénéficier d’une piste DTS-HD Master Audio 5.1 (Encodage 24-bit, Débit de 4072 Kbps). Il s’agit là de la meilleure option offerte à ce jour pour ce film. Les autres devront se contenter d’une piste DTS mi débit qui à proprement parler est proche de celle offerte par l’édition DVD de Fox d’il y a quelques années. Et là, de fortes différences (spatialisation, ampleur musicale, définition) s’imposent au profit bien évidemment de la version originale que l'on plébiscitera toujours de toute façon (sauf surprise éditoriale).
Première remarque : ne tombons pas dans l’exagération. On a pu lire que 'Braveheart' envoyait constamment la sauce avec une scène arrière toujours percutante et démesurée et une dynamique monstrueuse. Au risque de vous décevoir : ce n’est pas toujours le cas. Les scènes d’action sont certes percutantes, la scène arrière est toujours audible, mais on est jamais dans la démesure et de nombreuses éditions Blu-ray seront sans doute, par leur maîtrise ambiophonique, plus démonstratives et expérimentales que 'Braveheart' le fut en 1995. Sur les grandes scènes de confrontation, la scène arrière est active mais n’affichera jamais la finesse, la clarté, et l’amplitude de mixages que l’on juge référentiels. Beaucoup de gros effets arrières paraissent très localisés et manquent certainement de modernité. Car l’approche adoptée fut assez classique dans sa forme.
Centrée sur l’axe frontal, la perspective avant tout stéréophonique qui est offerte est ouverte et naturelle. L’usage de la section arrière est doux, fin dans la délivrance des ambiances (conditions atmosphériques, champ de bataille) et plus épanoui en offrant une extension musicale arrière à l’excellente, que dis-je, la prodigieuse bande originale de James Horner (la plus belle de sa carrière ?). Cette bande son propose donc un rendu très classique dans son ensemble mais jamais quelque chose d’ébouriffant en termes de rendu 5.1. Le rendu est d’ailleurs plus musical que rude, plus reposant que sportif. L’apport HD est par contre assez monumental vis-à-vis de la version DVD à laquelle on s’était habituée. Le codec DTS-HD Master Audio, offert sous une profondeur de 24 bit sur ce disque, reste le support idéal pour ce type de bande son. Il restitue enfin les ressources en dynamique et les charges émotionnelles des voix rustiques issues des instruments celtiques usés ici avec grand charme.
Car c’est bien la musique qui impose ici un rythme aux images. Soulignant tantôt la fragilité de l’union de Mel Gibson avec sa tendre, elle évoquera plus tard de façon plus martiale et angoissante, avec des percussions tribales, l’hostilité des représailles et la cadence militaire anglaise, jusqu’à accompagner le sacrifice corporel du héros grâce à un chœur retenu dans un premier temps, puis libéré au cri de la Liberté de notre héros élevant sous nos yeux son âme. On résumera les choses de la manière suivante : une piste DTS-HD de très grande qualité, naturellement axée sur les voies frontales, fournie en musicalité, claire et précise dans la restitution des dialogues, chargée en dynamique, mais jamais sujette à la démesure surround ou à la pure démonstration expérimentale 5.1. Là n’est d’ailleurs pas le propos du film…
Bonus
Disque 1
Commentaire du réalisateur Mel Gibson
Il s’agit ici du commentaire audio qui était déjà présent au sein de la précédente édition DVD. On y retrouve un Mel Gibson très sage, peu communiquant sur le plan verbal. On souhaiterait qu’il parle plus…mais c’est ainsi.
Le monde de William Wallace
Ce bonus adopte le format Picture-in-Picture. Bonne nouvelle, il y a des sous-titres français. On y retrouve des informations en tout genre sur l’icône William Wallace, l’Ecosse, l’histoire, la géographie (avec des cartes qui s’afficheront sur votre écran). Mel Gibson apparaît plusieurs fois sous forme d’interview. Un très bon document PIP…
Disque 2
Les champs de bataille de la rébellion écossaise
Première bonne nouvelle : ce bonus profite d’une voix française. On y retrouve une carte interactive avec les 5 grandes batailles ayant opposé l'Ecosse et l'Angleterre. Certaines d’entre elles offrent un accès à un champ de bataille virtuel. Une fois activé : commentaires, interviews, et illustrations en 3D des tactiques adoptées prennent vie à l’écran. Waouh ! C’est vraiment sympa !
William Wallace, le plus grand héros d’Ecosse (HD – 29.59 minutes)
Vous vouliez en savoir plus sur le personnage de William Wallace ? Et bien ce document est fait pour vous. Sans être forcément dans la continuité ou la forme du film, il traite du personnage historique et légendaire de Wallace. Le tout est sous-titré en français et on découvre des paysages écossais contemporains assez stupéfiants à regarder en HD.
Le travail du scénariste (HD – 21.31 minutes)
C’est pour nous le document essentiel de cette édition. Randall Wallace, le scénariste de 'Braveheart', revient sur ses méthodes de travail, ses recherches sur William Wallace, sa rencontre avec Mel Gibson, ses inspirations, avec une émotion qui respire à l’écran. Il y aborde aussi les ficelles du film et ses grands thèmes poétiques. Si vous aimez le film, vous allez aimer ce document, on vous le garantit.
Alba Gu Brath ! Le making Of Braveheart (SD – 49.57 minutes)
Mélangeant interviews d’époque et interviews récentes, ce making of a pour mérite de faire une très belle synthèse entre ce qui nous était offert en DVD et aujourd'hui en Blu-ray. On entre par contre dans le vif du sujet c'est-à-dire le film. Mel Gibson revient sur le script, le tournage, le montage, la musique. On est plongé aussi au cœur des coulisses du tournage, accompagnons Gibson et son monteur dans la construction des scènes. La seconde partie est intégralement consacrée aux scènes de bataille et la dernière traite des souvenirs du réalisateur, la composition de James Horner et l'accueil du film. Un superbe making-of.
Interviews du cast de Braveheart (SD – 14.28 minutes)
Dans l’ordre, quelques interviews :
- James Robinson
- Catherine Mccormack
- Brendan Gleeson et James Cosmo
- David O’Hara
- Angus McFadyen
- Patrick McGoohan et Peter Hanly
- Sophie Marceau
Montage photo (HD – 6.29 minutes)
Sous la musique de James Horner, un petit montage photo des coulisses, du film, des acteurs…
Petit regret : on ne nous offre pas la bande annonce d’époque qui profitait de la somptueuse musique de 'The Mission' de Ennio Morricone....
Conclusion et Screenshots HD
Conclusion
'Braveheart' était un Blu-Ray très attendu. Et Fox délivre une édition somme toute irréprochable. Le transfert est somptueux, la bande son en VO DTS-HD Master Audio 5.1 assure les fonctions qu’on lui demandait, l’interactivité a été exploitée au travers des bonus en Picture-in-Picture et du mode champ de bataille. Enfin les suppléments sont complets et pour la plupart en HD. Ils sont surtout très bien organisés !
Que dire ? Sautez vite sur cette édition d’autant que 'Braveheart' est un grand film atemporel que l’on aime voir, revoir et re-revoir. Ce Blu-Ray est immanquable à nos yeux et se doit d'être inscrit dans chaque bluraythèque.
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ScreenShots HD (Extraits redimensionnés en 1280 x 720 pixels et encodés au format .jpg)