Test Blu-Ray : Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal

Publié le par la Rédaction



Test Blu-Ray : Indiana Jones et le Royaume du Crâne de CristalAttendu par les fans de la saga depuis près de deux décennies, le quatrième volet des aventures d’Indiana Jones reste l’un des évènements cinématographiques de l’année 2008. Et Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal ne déçoit pas tant la maturité et l’expérience du trio fantastique représenté par le producteur George Lucas, réalisateur Steven Spielberg et acteur Harrison Ford transparaissent à l’écran et aux yeux des fins connaisseurs des films que nous ont livrés Lucas et Spielberg au cours de leur carrière.

Entre mythologie, aventure intérieure, quête initiatique, action et humour, Indiana Jones est surtout devenu un héros à part entière. Malgré un visage marqué par l’écoulement des années, il a aujourd’hui atteint au travers de cette dernière aventure l’âge d’or : celui de la maturité, du savoir et de la connaissance qu’il faudra désormais transmettre à la nouvelle génération. Aucune surprise de retrouver au cœur de cette nouvelle aventure un sujet surfant sur cette thématique de la maturité et de la connaissance : la fameuse légende du Crâne de Cristal à l’issue de laquelle nous sera proposée une révélation susceptible de mener l’homme à un nouveau stade d’accomplissement. Il s'agira d'un message qui illustrera parfaitement l’étape franchie par notre héros, qui achevant sa dernière quête initiatique avec la découverte et l'acceptation de son fils, sera fin prêt à en transmettre le trésor intérieur. La tradition Indiana Jones restera dans tous les cas et malgré des apparences, et nous y reviendrons, de science fiction, pleinement respectée.

Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal débarque en édition Blu-Ray Disc dès le 21 novembre. Nous vous proposons aujourd’hui le test complet de l’édition Blu-Ray Disc (Special Edition 2-Disques).

Accrochez-vous, le spectacle est au rendez-vous !

Caractéristiques

Vidéo : Transfert 1080p MPEG 4 AVC / 2.40
Audio : Anglais en Dolby TrueHD 5.1, Français, Allemand, Italien et Espagnol en Dolby Digital 5.1 (640 Kbps)
Sous-titres : Multiples
Bonus : Disque 1 : HD : Préproduction, Chronologie Indiana Jones, Le retour d'une Légende, Bandes Annonces
Disque 2 : HD : Journal de Production : Fabrication du Royaume du Crâne de Cristal, Maquillage Guerrier, Les Crânes de Cristal, Accessoires Emblématiques, Aventures en Post-Production, Les Effets d'Indy, L'Equipe d'Indy, Pré-Visualisation de Séquences, Galeries

Résumé


La seconde guerre mondiale est achevée. Nous sommes désormais en l’année 1957 en pleine période de Guerre Froide. Indiana Jones et son ami Mac sont faits malheureusement capturés par des soviétiques menés par Irina Spalko.

Cette dernière recherche le treizième Crâne de Cristal qui selon la légende lui confèrera un pouvoir de première envergure : celui de contrôler la pensée de l’humanité. Mais Irina a besoin du savoir faire de l’archéologue pour arriver à ses fins : la domination de l’humanité par et pour les russes.

Après avoir échappé aux soviétiques, Indiana Jones va faire la rencontre de Mutt, un jeune rebelle qui le mènera sur la piste du fameux crâne d’Akator et de son amour d’antan, Marion Ravenwood. Une fois en main le fameux crâne, il s’agira de retourner ce dernier au cœur de cette cité d’or afin que la légende des crânes de cristal puisse se réaliser.

Mais les russes menés par Irina suivent de près l’avancée d’Indiana Jones, de Marion, Mutt et d’Oxley…

Analyse : Indiana Jones est de Retour !


Sans se méprendre : Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal reste un Indiana Jones dans son fond et dans sa forme : en bref la tradition initiée par Spielberg et Lucas est pleinement respectée. Ce qui avait fait le succès des précédents volets n’était autre que cette faculté de ce trio fantastique (George Lucas, Steven Spielberg et Harrison Ford) à nous plonger au cœur des légendes et mythologies anciennes, tout en apportant à la fois de la légèreté dans les sujets abordés mais aussi de la profondeur dans la délivrance des messages. Car malgré les détracteurs de George Lucas, qui peut-être à juste raison insistent sur l’aisance matérielle de ce réalisateur et producteur à qui l’on doit notamment les deux trilogies Star Wars, il faut avouer que l’homme maîtrise avec son ami de toujours Steven Spieberg parfaitement son sujet, ce personnage et surtout les symboles entourant ces légendes anciennes. Le trésor, but ultime des différentes aventures du personnage d’Indiana Jones, est toujours ramené à une richesse intérieure : celle de l’expérience de notre héros aux milles et un visages qui atteindra de plus hauts degrés de sagesse au fil des aventures accomplies.

A ceux qui verront un irrespect de la saga par la présence de ces êtres venus d’ailleurs, il faut tout de même rappeler la présence chez certaines civilisations de ces extra-terrestres en tant qu’êtres à l’origine du monde. Au-delà de la civilisation Maya, dont les prêtres furent de fins connaisseurs des subtilités de l’univers, d’autres théories ont été menées dans cette mouvance à l’instar de celle de Zecharia Sitchin exposant une version de la création de l’homme très particulière. Les Annunakis, divinités sumériennes seraient dans ce cadre des êtres venus sur terre dans le but de créer les homos-sapiens et d'en faire leurs esclaves. Le but de cette opération effectuée il y plusieurs milliers d'années : tirer profit des richesses et de l’or présent sur notre planète. La légende des Crânes de Cristal surfe également sur cette mouvance. Leur conception, parfaite, serait d’origine inconnue et donc potentiellement extra-terrestre. Une fois rassemblés, ces crânes seraient susceptibles de délivrer à l’homme, lorsque ce dernier sera fin prêt à le recevoir, un savoir, une connaissance en bref un trésor inégalé susceptible de bouleverser celui ou celle qui parviendra à le recevoir et à le comprendre.

Et ici au-delà d’une aventure, de l’action et de l’humour que nous offre ce quatrième volet, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal est un film traitant en tant que sujet principal de la maturité, l’âge d’or de l’aventurier c'est-à-dire cette étape durant laquelle le héros dans les mythologies anciennes parviendra à atteindre un plus haut de degré de sagesse, de savoir et de connaissance et s’apprêtera à les transmettre à la nouvelle génération. A ce titre, l’or, symbole de connaissance absolue, de perfection reste tout comme le Graal du précédent opus associé à l’immortalité et au monde divin. Indiana Jones part ici à la conquête du «Royaume» du crâne de Cristal, qui n’est autre que symboliquement parlant une ultime étape initiatique par l’intermédiaire de laquelle Indiana deviendra un véritable héros accompli, un maître dont la «couronne-chapeau» symbolisera à la fois le pouvoir et le degré d’accomplissement intérieur. Ici, le jeune Mutt, fils du héros ne peut, à l'occasion de l’ultime scène, recevoir le prestige de porter ce fameux chapeau. Il lui faudrait accomplir pour cela, sa propre expérience d’aventurier, gravir lui-même la montagne symbolisant les étapes de l’aventure mystique et intérieure de sa propre personne.

L’or est de même omniprésent au sein de ce volet. Il s’agit effectivement d’un des premiers films de la saga marqué de tout son long par une teinte et des couleurs constamment dorées. A nouveau, chaque détail a son importance et une cohérence symbolique dans l’univers de Lucas et de Spielberg. Il s’agit à nouveau d’insister symboliquement sur cette quête du personnage qui n’est pas forcément l’or en tant que simple matière, mais ce qu’il représente : la connaissance divine. A ce titre, le savoir nous est ici présenté comme indissociable de l’expérience. Irina Splako qui cherchera à acquérir la connaissance ultime notamment à la fin du film, n’est finalement pas apte à recevoir l’étendu du savoir sacré inscrit au cœur même des crânes de cristal. L’ambition de « tout connaître » mènera d’ailleurs ce personnage à la perte. A nouveau, Spielberg et Lucas nous rappellent que la richesse, au cœur d’une aventure, ne réside pas forcément en l’objet même de la quête (graal, or, crâne de cristal) mais au sein même du voyage du héros, seul vecteur par lequel la vraie richesse, d’une dimension intérieure, est transmise. Il s’agit ici de l’expérience du héros. On retrouve cette composante au sein des précédentes aventures d’Indiana Jones voir même au sein des autres productions Lucasfilm à l’instar de Willow ou même de La Guerre des Etoiles notamment.

Les amateurs de ces dernières ne s’y trompent d’ailleurs pas car le ton est donné dès les premières minutes. Ambiance rock et automobiles : toute cette première scène nous rappelle sans l’ombre d’un doute les scènes d’anthologie d’American Graffiti où l’on retrouve encore et encore, cohérence oblige, ce fameux Harisson Ford.

Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal restera un très bon film d’aventure, où seul le plaisir de replonger dans cet univers singulier suffirait à nous enthousiasmer. Personnages, musique de John Williams, multiples clins d’œil : nous sommes tout simplement plongés dans un mythe et on en redemande tant tout cela est conçu avec humour, maîtrise et surtout savoir-faire.

Qualité Technique : Vidéo


Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal nous est proposé en version 1080p, encodage AVC et format respecté à savoir 2.40:1. Rare Blu-Ray Disc à être certifié THX (production Lucasfilm oblige), on a ici affaire tout bonnement à un transfert soigné et irréprochable. On a tout simplement hâte de découvrir la trilogie originale dans cette qualité. Le film bénéficie d’une palette colorimétrique constamment dorée. Il s’agit d’un choix artistique judicieux en accord avec les éléments exposés en analyse (voir page précédente).

Au-delà de cette remarque, Indiana Jones est associé à un jeu de lumières constant dans laquelle les contours des personnages font parfois l’objet d’une légère illumination comme si toute l’aventure du héros au chapeau et au fouet était elle-même d’une autre dimension : solaire et divine ! A croire que le réalisateur se prête lui-même au culte solaire et divin des mayas présents au sein de cette aventure. La palette des couleurs reste toutefois variée avec un côté très "années 60", dont une dominante verte et orange notamment. On retrouve cette remarque au sein de la fameuse scène de l’explosion nucléaire, qui se déroule dans une ville fantôme marquée par les couleurs des « sixties ». Ici on apprécie une cohérence certaine de la réalisation associant caractéristiques et ambiance de la période en question (1957) aux dimensions mythiques de l’aventure (royaume, or-connaissance). Le tout est parfaitement équilibré.

Le transfert bénéficie d’un niveau de détail très appréciable. Les scènes sont riches d’une profondeur de champ tout bonnement parfaite sans forcément, pour le spectateur, faire l'objet d'une impression de production entièrement numérique. Il faut rappeler qu’Indiana Jones et le Royaume de Cristal a été tourné entièrement en 35mm et le montage a lui-même été effectué en analogique. Le travail d’ILM s’est révélé lui-même efficace, et le réalisme des scènes est franchement au rendez-vous. On remarque la présence du grain cinéma parfaitement associé aux aventures et aux légendes anciennes. Seuls quelques passages conservent ce côté davantage digitalisé notamment la scène où Mutt traverse la jungle à l’aide de lianes. Là Indiana Jones tombe davantage dans l’univers fantastique et imaginaire.

Malgré cette remarque, le film nous est présenté dans un transfert où l’ambiance et les scènes demeurent réalistes dans les limites des canons d’une aventure surfant sur une légende au demeurant « 21ème siècle ». Les noirs quant à eux bénéficient d’une solidité à toute épreuve. Le piqué de l’image n’est pas forcément le plus haut constaté sur un Blu-Ray mais le niveau de détail apparaît ici très équilibré et cohérent compte tenu de l’univers d’Indiana Jones. Rien n’est ici fait dans la démesure.

Quelques scènes restent tout de même d’anthologie au sein de ce volet. Le paysage de western du début de film, la cité d’or qui bénéficie de décors à la minutie incroyable, jusqu’aux fameuses cascades et à la poursuite en pleine jungle. L’œuvre de Spielberg et de Lucas reste visuelle et c’est tout simplement un vrai bonheur de découvrir tout cela en haute définition.

Qualité Technique : Audio


Œuvre visuelle, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal est également une œuvre musicale, dans la mesure, où, production Lucasfilm et réalisation Spielbergienne obligent, une grande priorité est donnée à la bande originale à nouveau signée John Williams. Proposée en version originale en Dolby TrueHD 5.1, il s’agit tout simplement d’une excellente piste audio, riche en cohérence et en équilibre. Nul besoin effectivement de modifier le volume de votre amplificateur selon l’intensité des passages, cette piste est tout simplement dosée au millimètre près.

Entre clarté des dialogues, ambiance 5.1 ni plus ni moins constante, précision des effets, haute directivité des éléments sonores, et dynamisme musical à toute épreuve, cette piste est tout simplement parfaite en son genre. On notera un soin tout particulier accordé aux effets environnementaux qui permettent de restituer le climat dans lequel chaque scène se déroule. Des effets magnétiques dirigeant la poudre durant la fameuse scène de l’entrepôt, à l’explosion nucléaire, au passage d’un avion au sein de l’aéroport, aux éclairs lors de la visite du cimetierre par Henry Jones Junior et Henry Jones troisième du nom, jusqu’à la fusillade des mayas par les russes seulement suggérée de façon sonore, la scène arrière est tout simplement abondante et maîtrisée. On remarquera enfin qu’une grande priorité est donnée à la bande originale, qui nous accompagne dynamiquement quasiment durant toute la durée du film.

En bref, cette piste TrueHD mérite les 5 étoiles ! En ce qui concerne la VF, l’éditeur s’en sort raisonnablement bien avec une piste en Dolby Digital 5.1 640 Kbps qui parvient à retranscrire tous les effets précédemment cités avec peut-être moins de dynamisme mais toujours de façon équilibrée.

Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal est une excellente édition Blu-Ray en termes techniques.

Venons-en désormais aux bonus et autres suppléments…

Bonus – Disque 1


Avec deux disques Blu-Ray nécessaires pour stocker tous les suppléments offerts dans le cadre de cette édition, le ton est donné. Sachez que quasiment tous les suppléments sont déclinés en haute définition (résolution 1080i) ce qui est franchement remarquable.

Le Retour d’une Légende (HD – 17.34 minutes)

Ce premier document revient sur la longue attente ayant précédé l’arrivée de ce quatrième volet d’Indiana Jones. Steven Spielberg revient sur la genèse du projet, les idées très précises de George Lucas en matière de scénario, jusqu’aux problématiques associées à l’âge de l’acteur Harisson Ford. L’occasion est donnée à l’éditeur de nous offrir quelques images en haute définition (s’il vous plait) des précédents volets et la qualité visuelle de ces quelques passages promet de futurs Blu-Ray Disc attendus avec impatience. Ce document revient également sur le personnage de Marion, et de la relation liant l’actrice Karen Allen à toute l’équipe. Vient ensuite l’étape du choix précis du titre : Royaume du Crâne de Cristal.

Pré-production (HD – 11.44 minutes)

Ce second document, comme son non l’indique, revient sur l’ensemble du travail effectué en pré-production, c'est-à-dire concrètement : le travail de prévisualisation des scènes en 3D qui permet d’offrir à toute l’équipe une première ébauche grossière des principaux éléments du film. Ce document revient également sur l’importance accordée au choix des costumes, à la photographie, et aux traits du personnage de Mutt inspiré notamment de Morlon Brando.

Chronologies et Bandes-Annonces

La section Chronologie est fortement intéressante dans la mesure où elle nous offre une rétrospective de l’ensemble des épisodes de la saga. Malheureusement, cette encyclopédie virtuelle n’est proposée qu’en anglais. N’oublions pas la présence des bandes annonces elles-mêmes disponibles en haute définition.

Bonus – Disque 2 – Partie 1


Sur le second disque, on retrouve le long making-of du film que l’on peut consulter d’une seule traite ou par éléments :

Journal de Production : Fabrication du Royaume du Crâne de Cristal

- Le Tournage Commence : Nouveau Mexique (HD – 14.27 min)

La première journée de tournage est présentée. On y découvre des paysages très western, la petite cérémonie marquant l’entame du tournage, l’introduction très brutale du personnage d’Indiana Jones, la coiffure du personnage d’Irina Splako jusqu’au fameux test nucléaire.

- De Retour à l’Ecole : New Haven, Connecticut (HD – 10.23 min)

Comme la tradition de la saga l’oblige, Indiana Jones revient enseigner l’archéologie avant que l’aventure ne lui oblige à quitter son emploi de professeur à mi-temps. Sont ici abordés : le tournage à Yale, le soin accordé au style 1950’s pour les figurants, les nombreuses cascades gérées par Gary Powell, le tournage de la scène de poursuite en moto. On remarque également la présence du fils de Tom Hanks en personne au sein de la bibliothèque en question.

- Bienvenue dans la Jungle : Hilo, Hawai (HD – 6.32 min)

De l’autorisation spéciale de tournage aux difficultés de composer le style d’une jungle primitive des années 1950, jusqu'à celles liées à la chaleur pour les acteurs : tout est ici bien résumé.

- Action sur le Plateau (HD – 27.30 min)

Quatre plateaux ont été nécessaires pour le tournage de ce quatrième volet des aventures d’Indiana Jones. On apprécie là le niveau de détail accordé aux éléments du décor en ce qui concerne à la fois la scène de l’entrepôt, de la maison du Dr Jones, du Diner ambiance très American Graffiti, jusqu’au cimetière où les deux héros parviendront à mettre la main sur le fameux crâne de Cristal. On apprécie ici la peur de Shia à l’égard des véritables serpents utilisés dans le cadre de ce tournage.

- Explorer Akator (HD : 14.34 min)

Le fameux temple d’Akator est tout simplement gigantesque. Des escaliers disparaissant progressivement, aux litres d’eau nécessaires pour achever la scène, jusqu’aux effets numériques d’ILM, toute la scène vous est expliquée dans les plus fins détails. Remarquons la présence d’E-T et de R2-D2 au sein des carreaux dorés présents au cœur de ce temple : incroyable !

- Fin de Tournage (HD – 7.26 min)

Nous sont présentés la fameuse scène de mariage ainsi que le dernier jour de tournage effectué précisément le 11 octobre 2007.

Bonus – Disque 2 – Partie 2


Le second disque offre également d’autres featurettes en haute définition :

Maquillage guerrier (HD – 5.34 min)

Même si le maquillage des mayas nous rappelle celui effectué avec peut-être davantage de rigueur historique par Mel Gibson au sein d’Apocalypto, on admire au sein de ce documentaire le travail effectué par l’équipe de ces 26 maquilleurs.

Les Crânes de Cristal (HD – 10.10 min)

On ne vous explique pas ici comment ont été fabriqués les véritables Crânes de Cristal (élément encore mystérieux), mais la manière dont ont été conçus les crânes utilisés lors du tournage du film. Il s’agit ici d’une collaboration étroite effectuée entre ILM et les modélistes.

Accessoires emblématiques (HD - 9.59 min)

On vous présente ici en détail tous les accessoires iconiques associés à l’univers de l’aventurier : du fouet à l’arche perdu jusqu’aux éléments présents au sein des archives même de Lucas.

Les Effets d’Indy ( HD – 22.42 min)

Sans doute la rubrique la plus intéressante pour les fans de l’univers numérique. Ce document nous plonge chez ILM où nous sont expliquées en détail les conceptions de nombreuses scènes (fondu Paramount, Explosion Nucléaire, Scènes de Jungle, Fourmies Numériques, Destruction du Temple).

Aventures en Post-Production (HD – 12.44 min)

Du tournage effectué en 35mm, au montage traditionnel signé Michael Kahn, au son signé Ben Burt jusqu’à la Bande Originale effectuée des mains du maître John Williams, ce document revient sur les différents éléments de la post-production. Les fans de Lucasfilm seront servis puisqu’on retrouve des personnalités bien connues des anciens épisodes d’Indiana Jones et de Star Wars.

L’équipe d’Indy (HD – 3.41)

Petit tour d’horizon des principales personnalités ayant participé à ce projet.

Prévisualisation de séquences

- Evasion de la zone 51 (HD – 3.51 min)
- Poursuite dans la jungle (HD – 5.47 min)
- L’attaque des fourmis (HD – 4.29 min)

N’omettons pas la présence des traditionnelles galeries photos.

Conclusion et Screenshots HD


Test Blu-Ray : Indiana Jones et le Royaume du Crâne de CristalVous l’aurez compris sans doute du fait de la longueur de ce test Blu-Ray Disc : cette édition est tout simplement une grande réussite.

De la qualité du transfert, à la dynamique offerte par la piste en VO TrueHD, jusqu’aux bonus étalés sur deux disques Blu-Ray et en majorité en Haute Définition, Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal fait partie du top 5 des meilleurs éditions Blu-Ray Disc depuis l’existence de ce format sur le marché. On attend désormais plus qu’une seule chose : proposez-nous Paramount rapidement toute la première trilogie en Blu-Ray !

Sur ce bonne séance Home-Ciné à tous !

ScreenShots HD (Extraits redimensionnés en 1280 x 720 pixels et encodés au format .jpg)